• Du 12 septembre au 12 octobre – « Solitude Augmentée » – 8 portraits d’hommes et de femmes par Sacha Goldberger pour les Petits Frères des Pauvres dans le cadre de la biennale Photoclimat, place de la Concorde (Paris)

Quels sont les liens entre huit personnes âgées isolées de 77 à 90 ans, Simone Veil, Jésus, Bruce Lee, Napoléon, Meryl Streep… ?

C’est ce que le photographe Sacha Goldberger invite à découvrir en proposant une expérience inédite qui mêle réel, intelligence artificielle et réalité augmentée pour sensibiliser à l’importance du lien social. Tout commence par des mots, ceux des personnes accompagnées par les Petits Frères des Pauvres et interviewées spécialement pour le projet. Ces mots qui parlent de solitude, mais aussi de leurs amis imaginaires, ces mots que Sacha Goldberger a prompté pour recréer grâce à l’IA les personnages qui les fascinent, ou ceux auxquels ils pensent quand ils sont seuls.

Les spectateurs, pourront par le biais de la réalité augmentée en passant leur smartphone devant les photos de ces huit hommes et femmes et grâce à un QR code, écouter leurs mots et voir apparaître leurs amis imaginaires. 

Le photographe nous démontre avec cette série que le virtuel ne pourra jamais remplacer le réel, ni la présence humaine.

Vous trouverez via ce lien des visuels libres de droits et le communiqué de presse :  https://fromsmash.com/IDfQoSQT0j-ct

 

  • Du 17 septembre au 29 octobre – « Daydreams » par le photographe Sacha Goldberger à la Galerie XII (Paris 4)

Aux confins de l’ouest américain, là où la lumière sature le réel, la série « Daydreams » s’installe dans ce point de bascule où la réalité dérape subtilement vers l’imaginaire. Joshua Tree, Palm Springs : chaque décor évoque une Amérique de carte postale, comme un souvenir oublié.

De mystérieux personnages s’invitent, irréels mais familiers, comme des fragments de subconscient déposés sur la pellicule. Des représentations minutieusement mises en scène, à la saveur du surréalisme viennent troubler la quiétude d’un motel oublié ou celle d’un désert où le silence danse avec le vent chaud.

Arpentant la frontière entre mémoire collective et fantasme personnel, « Daydreams » propose une balade où le spectateur est invité à douter doucement. Ici, la narration ne s’impose pas : elle se devine entre les lignes troubles, dans la rencontre entre l’absurdité discrète des situations et la délicatesse du regard porté sur les lieux et les personnages.

L’image devient prétexte à invention, à perte de repères, tout en continuant de faire vibrer l’imaginaire collectif, celui d’une Californie idéalisée mais profondément personnelle.

 Dans « Daydreams » Sacha Goldberger mélange l’intelligence artificielle à la photo traditionnelle. En 2022, il est parti photographier pendant plusieurs semaines différents lieux autour de Los Angeles qu’il utilise comme support pour ses divagations diurnes. L’intelligence artificielle lui permet d’aller au bout de son imagination et de nous transporter dans ses rêves éveillés.

Vous trouverez via ce lien des visuels libres de droits et le communiqué de presse :  https://fromsmash.com/KxTV20_x~Q-ct

 

Du 23 au 26 octobre, trois expositions de photographies pendant Moderne Art Fair

  • Portraits et paysages : Figures du silence

    Exposition photographique avec le Centre d’art La Chapelle de Clairefontaine

    Une exposition pensée comme un dialogue entre deux genres fondamentaux – le portrait et le paysage – revisités à l’heure de l’intelligence artificielle. De la photographie traditionnelle à l’image générée par algorithme, cette présentation interroge la transformation du médium face aux défis du numérique. À travers des œuvres sensibles et conceptuelles, elle questionne l’authenticité, la mémoire et l’image comme construction contemporaine. 

  • Édith Baudrand – L’encre et la peau : une exploration de l’intime

    Commissaire d’exposition : Lumir Ardant-Leverd

    Lumir Ardant-Leverd, figure engagée de la scène curatoriale, propose ici une lecture monographique du travail d’Édith Baudrand, peintre et plasticienne, connue pour sa collaboration avec le cinéma (Séraphine, At Eternity’s Gate, Bonnard, Pierre et Marthe). Son œuvre personnelle explore la matière picturale, le corps et l’intériorité féminine, à travers une série de peintures sur papier (Albédos) et une première sculpture en verre. Une proposition sensible entre figuration et abstraction.

« La Légion dans la peau » – Photographies de Victor Ferreira

L’exposition « La Légion dans la peau » présente le travail de Victor Ferreira, ancien adjudant-chef devenu photographe, qui documente depuis plusieurs années les tatouages de ses frères d’armes. Signes d’appartenance, cris muets ou prières gravées dans la chair, ses images capturent une mémoire corporelle intime et silencieuse. Réalisée sans mise en scène, cette série témoigne d’un lien de confiance rare, construit au fil de rencontres dans les régiments, les chambrées ou les temps de repos. Chaque photographie révèle une histoire personnelle, entre loyauté, solitude et fierté. Ce projet est né d’une rencontre avec Vincent Courcelle-Labrousse, avocat, écrivain et petit-fils d’officier de Légion, à l’origine du lien entre l’artiste et la foire.

 

Vous trouverez via ce lien des visuels libres de droits de ces expositions : https://fromsmash.com/eQs4zjlA7J-ct

 

 

 

  • Jusqu’au 2 novembre, 13e saison photographique de l’Abbaye Royale de l’Epau, aux portes du Mans (Yvré-l’Evêque)

Entre ciel et pierre, forêt et lumière, le Conseil départemental de la Sarthe vous invite à vivre une expérience artistique unique : la 13e Saison photographique de l’Abbaye Royale de l’Epau, du 19 juin au 2 novembre 2025. Cette exposition à ciel ouvert déploie un parcours visuel immersif dans les 13 hectares de son parc, au cœur d’un site cistercien du XIIIe siècle.

Cette nouvelle édition fait dialoguer patrimoine et création contemporaine à travers les regards de cinq photographes internationaux. Leurs œuvres, souvent présentées en très grands formats, s’intègrent aux paysages et à l’architecture du lieu, révélant la richesse du vivant, la fragilité de nos écosystèmes et l’intimité de mondes souvent invisibles.

Des profondeurs marines de Narelle Autio aux forêts japonaises de Kazuaki Koseki,en passant par les portraits engagés de Jonas Missaye ou les créations poétiques de Delphine Blast et Fabien Michenet, le visiteur est convié à une promenade artistique nourrie de sens et d’émotion.

Vous trouverez via ce lien des visuels libres de droits et le communiqué de presse :  https://fromsmash.com/FzpHaUF4GS-ct

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